Les corrections suite aux tests utilisateurs ainsi que les retouches client se font sur des maquettes et non sur du code.
Modifier une structure sur une maquette est plus rapide, plus simple et moins cher qu'intervenir sur du code en développement ou fini.
Bien que la phase UX soit un coût supplémentaire, elle permet, entre autre, de réduire les coûts les plus élevés : les coûts de développement.
Créer un site "fait pour" et non pas "à l'attention de" ses utilisateurs permet d'améliorer l'expérience que ceux-ci vivent sur l'interface.
Un utilisateur conquis sera plus investi et fidèle à la marque.
C'est également un bon moyen de communication.
La phase d'UX incorpore les utilisateurs dans le processus de création. Ces derniers n'y seront pas insensibles. Ils se sentiront potentiellement impliqués et écoutés par la marque. Le bouche à oreille fera le reste.
Basé sur des principes de psychologie cognitive, d'accessibilité et d'ergonomie.
Analyse de ses besoins, sa psyché... au travers de multiples spectres : entretiens, observations, tests, études ...
de l'interface sur la base de données recueillies.
Cette phase comporte notamment un ou plusieurs ateliers, réunissant idéalement toutes les parties prenantes (le client, les utilisateurs, les développeurs, les designers...) autour d'un objectif prédéfini.
Création de prototype (maquette interactive) à partir de la recherche utilisateur et des ateliers d'idéation.
Si les tests sont concluants, le projet part en développement. Sinon, on entre dans une phase d'itération : il s'agit d'une période plus courte où des corrections sont apportées aux maquettes jusqu'à ce qu'elles soient optimales.